Depuis la tenue des municipales, le 4 février dernier, le landerneau sociopolitique est en pleine ébullition en Guinée. En effet, aux marches-meetings succèdent les journées villes mortes sur fond de violences. A preuve, selon un décompte effectué par la presse guinéenne et des organisations de défense des droits de l’Homme, douze personnes ont péri dans les violentes manifestations qui ont ...