Facebook, briseur de couple !

Le réseau social fait partie des inventions les plus ingénieuses du millénaire. Les amitiés virtuelles s’y multiplient, des couples s’y sont formés, bref une vraie « famille » universelle où ses membres communiquent en temps réel d’un continent à l’autre. Mais le revers de la médaille est terrible, surtout dans la vie conjugale.

L’addiction à Facebook

Ce réseau social semble être porteur d’un sortilège pour qui y met les pieds. Est-ce le fait d’y voir défiler la vie des individus jusque-là inconnus ou qui nous semblaient jusque-là inaccessibles? Ou est-ce le fait de passer des heures interminables à échanger avec des amis virtuels? Toujours est-il que des personnes finissent par vivre une véritable addiction pour ce réseau social. En d’autres termes, Facebook devient une véritable drogue.

Dans le couple, cela se traduit par une distance qui s’installe progressivement au fur et à mesure que le conjoint passe plus de temps le nez sur son smartphone qu’avec l’autre. Le temps devant être passé à discuter des projets de vie ou de leur avenir est passé à échanger avec des « amis » virtuels qui ne pourront jamais remplacer la solidité des liens qui unit les conjoints.

Ainsi l’autre se sent peu à peu délaissé et isolé. Son conjoint vit dans une bulle en permanence, insensible à tout ce qui l’entoure. S’il n’est pas rappelé à l’ordre, le fossé qui sépare les deux conjoints risque d’être impossible à combler. Parce que si l’autre, malgré les tentatives de ramener son conjoint à la raison, ne parvient plus à le « déconnecter » de sa bulle, il finira sans doute lui aussi par prendre ses distances. Et parfois pour de bon.

A lire aussi :   Les soldats dans les rues pour assainir: Voici le message que cela renvoie

L’adultère sur Facebook

Ce réseau social est une manne inespérée pour les personnes de mauvaise vie dont le seul passe-temps est de cumuler les aventures sexuelles. Idem pour les femmes s’adonnant au plus vieux métier du monde, la prostitution. On ne compte plus à l’heure actuelle le nombre de couples qui ont été brisés à cause de Facebook.

C’est en fouillant le smartphone du conjoint que l’on découvre menus messages osés échangés avec une ou multiples filles. Si pour certains l’adultère a eu le temps d’être consommé avec ses filles qu’ils ont fini par rencontrer, pour d’autres la « trahison » s’est limitée à des conversations érotiques. Ce dernier cas peut-il être considéré comme une trahison? Oui diront certains, non diront d’autres.

lu ailleurs